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Le réchauffement climatique, la pollution extrême et la sixième extinction des espèces, tous trois liés à l’activité humaine – en particulier à celle des plus riches –,inquiètent à juste titre de plus en plus de personnes, en particulier les jeunes qui savent que ce sont eux qui devront affronter les conséquences de notre inaction face à ces dangers qui menacent la planète et l'humanité.
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« Femmes et informatique » est une revue de presse partageant articles et annonces de colloques sur ce thème. Elle est soutenue par la SIF – Société informatique de France.
Quand on sait qu'il y a de moins en moins de femmes dans le domaine de l'informatique, cette revue de presse parait indispensable.
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Gérald Bronner est un sociologue français qui s'intéresse depuis longtemps aux croyances. Il a commencé par exemple par se demander pourquoi les enfants croient au père noël. Son objectif est toujours de trouver les invariants de la croyance alors que le savoir se développe.
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"On ne défend pas une langue en la momifiant, mais en la faisant vivre", affirmait François de Closets dans Zéro faute. L’orthographe, une passion française (2009). En effet, plus de la moitié des mots français ont changé au moins une fois d’orthographe depuis l’invention de l’orthographe en 1694 avec le premier dictionnaire de l’Académie française. Ainsi "nénufar" s’est écrit "nénufar" jusqu’en 1935, pour s’écrire "nénuphar" de 1935 à 1990 et redevenir logiquement "nénufar" en 1990. Mais dès que l’on change quelque peu l’orthographe, un nombre incalculable de personnes, célèbres ou non, estime comme Jean d’Ormesson en 1991 que "le français se désagrégera à grande vitesse" !
Pourtant "l’orthographe française s’est constituée par réformes successives – on n’en compte pas moins de huit – de sorte que s’opposer à toute nouvelle réforme, c’est bafouer notre tradition, c’est mutiler la France", explique Michel Masson, professeur émérite à Paris-III, dans la conclusion du Point sur les Rectifications de l’orthographe en 2005.
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Si les plateformes numériques telles que Facebook, Twitter, et autres connaissent quasi tout de nos vies - ce que nous consommons, où nous mangeons, où nous partons en vacances, ce que nous aimons, etc. - nous ne savons pas comment elles prennent leurs décisions, comment sont créés leurs algorithmes, comment elles partagent leurs données...
Que peuvent faire les citoyens contre ces géants qui non content de gagner de l'argent avec nos données, les utilisent de façon opaque ?
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