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Le journaliste Paul Moreira a réalisé en 2014 un fort bon reportage montrant la dangerosité des OGM et le lobbying qui les entoure pour qu'ils soient vendus partout dans le monde : Bientôt dans votre assiette (de gré ou de force).
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En 1938, Jawlensky écrit : "J'éprouvais le besoin de trouver une forme pour le visage, car j'avais compris que la grande peinture n'était possible qu'en ayant un sentiment religieux. Et ceci je ne pouvais le rendre que par le visage humain. J'avais compris que le peintre devait restituer par la forme et la couleur ce qu'il y avait de sacré en lui". C'était trois ans avant sa mort, alors qu'il ne pouvait plus peindre car atteint d'une arthrite déformante aux mains et qu'il était interdit d'exposer car faisant partie des peintres désignés par les nazis comme dégénérés.
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Le 23 juillet 2015, le Conseil constitutionnel a validé la loi sur le renseignement, jugeant que ce projet de loi ne constitue pas une entrave majeure aux libertés individuelles... C'était prévisible, mais ce n'est pas une bonne nouvelle pour autant...
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Il existe un certain nombre de films dont l'esthétique, tant celle des images que celle de la musique, se marie si harmonieusement à l'histoire qu'ils en sont fascinants. On peut les voir et les revoir à l'infini tant ils possèdent un pouvoir hypnotique hors norme et tant ils captent la vérité de l'âme humaine.
Petit florilège subjectif...
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Mulholland drive propose des "images subtiles et raffinées qui supposent une mémoire du cinéma déjà assimilée et digérée, invisible en quelque sorte, créatrice de formes fantomatiques, complexes et composites. De ce point de vue, le film de Lynch est un objet d`autant plus passionnant que cette assimilation des images en est le sujet même. (...) À ce titre, l’éblouissante séquence du play-back au théatre ou celle, non moins impressionante, dans laquelle Betty réinterprète magistralement une scène banale lors de sont bout d'essai pour les studios, fonctionnement comme de formidables métaphores du film lui-meme. Vivre, parler, chanter en play-back, c'est-à-dire répéter des paroles déjà écrites en les interprétant différemment, en changeant leur direction, voilà toute l`histoire des personnages, et du cinéma d'aujourd'hui" analyse Thierry Jousse dans les Cahiers du cinéma.
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